Après un long moment sans interviews, je reviens avec de nouvelles rencontres, cette fois-ci du côté du lac Léman où je passe un mois à faire du bénévolat à Caux dans un centre de conférences internationales pour l’association Initiatives et Changements. 400 personnes de  plus d’une centaine de nationalités différentes, une mixité qui apporte une ouverture d’esprit toujours plus grande surtout lorsque les conférences portent sur la paix, le dialogue interculturel et interreligieux, la bonne gouvernance… J’ai rencontré Kiril à Montreux, dans la vallée où je profitais d’une après-midi de pause pour visiter le coin.

Qui es-tu ?

Je m’appelle Kiril, c’est d’origine bulgare. Je suis né à Genève mais maintenant j’habite à Lausanne. Toujours près du lac (Léman)

 (qu’est ce que tu aimes dans la vie ?)
J’aime, du fait de ma profession de psychologue, d’ailleurs je cherche du boulot au cas où (rires), être avec les autres, le côté social, les rapports avec l’autre, les interactions, j’aime aussi flâner, à vélo notamment, au bord du lac. Donc s’il y a mes ami.e.s, le bord du lac et mon vélo, ma vie est parfaite !
(qu’est ce que tu n’aimes pas dans la vie ?)
Je n’aime pas les gens malhonnêtes, disgracieux, avec qui il est difficile d’avoir du dialogue, ceux qui ont un impact négatif sur les autres.

Quel est ton rêve dans la vie ?

J’ai pas mal de rêves du moment, disons que c’est difficile à exprimer un particulièrement. Tout simplement être content de ce que je fais ou de ce que je vais faire. C’est tout aussi en lien avec le boulot qu’avec des activités personnelles comme le vélo par exemple. Là je me suis lancé depuis un moment dans la fabrication de pièces composites comme la selle de mon vélo qui est en fibre de carbone et résine. C’est un projet personnel qui me plaît.

Quelle est la chose la plus folle que tu aies faite dans ta vie ?

Elle est encore à venir.

Quelle est ta définition du bonheur ?

Les ami.e.s le bord du lac, les vélos (rires)

Est ce que tu as une phrase ou une citation qui te guide dans la vie ?

« Si la violence ne résout rien, c’est que tu ne tapes pas assez fort… » Non je rigole mais elle me fait rire.
C’est une citation de Mark Twain : « Ils ne savaient pas que c’était impossible alors ils l’ont fait. »

Si vous souhaitez lire d’autres interviews, vous pouvez visualiser l’ensemble des personnes abordées sur cette carte interactive…

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